Note : sûrement cette fic ne plaira pas a Kiru, mais je la trouve tellement bien faite, que même si elle n'a pas lieu sur ce forum, je la publie toujours. Mettez vous dans le contexte, une meurtriére battue par son mari (wi elle est mariée) rencontre l'homme de sa vie qui se barre. Qu'en pensez vous ? Bon, Leslie me martyrise (je veux y être dans la tienne aussi alors !) je vais donc la "remercier" pour m'avoir donenr le courage de taper cette fic (bien que l'idée me soit venue en cours d'histoire géo ce matin, alor sje vois pas où elle la-dedans)
Ys, le 14 février
De Kuragari
A celui qui ma laissé ma liberté,
Il y a longtemps que tu es parti. Je n’ai plus eût aucunes nouvelles de toi, mais ça ne me dérange pas, tu es libre de tes actes, comme tu m’as laissé la liberté de t’aimer. Je ne sais pas si cette lettre arrivera sous tes doux yeux écarlates. Mais elle fait ton hommage, cette lettre.
Je ne peux pas te dire que tout va bien, car ce n’est pas le cas. Et comme tu le sais, je n’ai pas pour habitude de mentir, encore moins à toi. Je trouve que c’est une grande ironie. Moi qui t’écris alors que ce qui me permet de trouver une raison de ma vie se ballade dehors.
Mais malgré cela je prends le temps d’avoir ma plume en main et écrire avec l’encre de tes yeux à toi (même si je sais pertinemment que ta couleur préférée est le noir, le rouge convient à la lettre non ?) Mais je me trouve aussi admirable que toi. Tu es parti sans pleurer ou montrer une once de tristesse, et moi je ne me fais pas mal en écrivant ça, juste un ourlée de haine qui se dégage un peu.
A vrai dire je doute que cette lettre te parvienne un jour, elle t’annonce une grande nouvelle. Pas mon anniversaire ni le tien. Même si le tien a lieu le 31 octobre et que ça fait un an que je le fête pur toi, seule, seulement aujourd’hui je t’écris ces mots, parfois durs à dire, mais aussi tendres à entendre…
Tu sais, quand tu es parti comme ça, ça m’a achevé, mais pourtant je vis toujours, et c’est grâce a ton souvenir, malgré que la haine qui me brûle les lèvres reste présente, je t’adore quand même, je t’écris ces mots pour la dernière fois : je t’aime…
Cette lettre est le dernier souvenir de moi, de toi, de nous deux, de notre union, car aujourd’hui après ces mots tendres et adorables que je ne peux prononcer, je meurs… Je me pends, lassé de toute vie…
Adieu, toi qui ma laisser la liberté...
Chi, une femme qui t’aime…